
- Titre : Liz – Tome 4 : Danser avec les requins
- Auteur : GH David
- 375 Pages
- Éditeur : Editions Elixyria
- Date de Sortie : 14 Février 2020



C’est très difficile de mettre un point final sur une tétralogie.
3 ans après avoir rencontré Liz et ses amis, nous atteignons enfin le bout du chemin.
Malgré tous les hommes qui sont passés dans sa vie, Liz fait enfin un choix. Celui du coeur sans aucun doute qui se mêle à celui de la raison.
On découvre la Joconde. Faire renaître le passé pour mieux consstruire son avenir.
Un Tome centré sur la famille, la vraie, celle du coeur. Celle pour qui on est prêt à tout. Un tome lourd en événements, en actes, en conséquences, et en dénouements. On comprend mieux de nombreux points, c’est enfin le tome des révélations et des choix.
Personnellement, j’ai trouvé certaines scènes trop violentes pour mon petit coeur d’artichaud ( En même temps, avec une DARK, je ne m’attendais pas non plus aux bisounours ) et les scènes de sexes un peu trop longues. On est bien d’accord que ce n’est que mon avis.
La fin m’a laissé la bouche ouverte, je ne m’attendais absolument pas à ça. Mais pas du tout après avoir tant suivi ce personnage dans ce tome. On y croit, jusqu’au bout. Bravo, tu as réussi à me faire tourner et retourner les dernières pages à la recherche d’un passage fantôme.
On retrouve aussi toute la sensibilité et les émotions d’une plume que j’adore et que je redécouvre à chaque nouveau livre. Ici les descriptions m’ont transportée dans les scènes, un peu trop je pense certaine fois. Ma gorge s’est nouée, le stress a fait palpiter mon coeur, j’ai cramponné mon téléphone lors de la course poursuite, j’ai eu envie d’un câlin réconfortant avec les personnes qui me sont chères.
C’est une énorme qualité de savoir transporter les lecteurs et de les faire s’imprégner du roman, et ça ma Geny, c’est un pari gagné à chaque nouvelle histoire.
Je ne dirai pas que ce tome est mon préféré, il fait parti d’un tout. C’est enfin la conclusion de cette histoire, et c’est une belle conclusion.
Je termine avec la phrase la plus belle du roman :

Merci à Geny pour sa confiance et l’envoi de ce service presse.