Merci à Ena Fitzbel qui s’est prêtée au jeu de l’interview à l’occasion du Concours des Plumes Francophones.
- Pour commencer, est ce que tu peux rapidement te présenter ?
Ingénieure dans un centre de recherche, j’aime pimenter mes romans d’une bonne dose de romance, d’une pincée d’humour et d’un soupçon de suspense.
Je les publie chez Albin Michel éditions, City éditions, éditions Addictives et en autoédition.
Je suis actuellement en train de terminer mon treizième roman, WILD LOVERS, qui est une comédie romantique épicée.
- Pourquoi vouloir participer aux Plumes Francophones ?
Je souhaitais faire connaître BLOODLESS à un plus grand nombre de lecteurs.
- Quel thème as-tu décidé de traiter ?
Dans BLOODLESS, le thème de l’immortalité est largement abordé.
Si on parlait de ton livre en images :
- Tes personnages
Silas Cassandra
- L’univers
- L’intrigue
- Un passage qui te tient à cœur
« À peine ont-ils atterri dans un grand champ que Silas met pied à terre et s’enfonce jusqu’aux genoux dans les fanes rousses des tubercules. Cassandra en fait autant, et leurs chevaux replient leurs ailes.
Le front creusé de rides soucieuses, le général scrute la pénombre, plus pour guetter le retour de son milos que par crainte d’une attaque-surprise. En effet, la campagne est déserte et immobile, comme figée par quelque sortilège. Pas un brin des fines herbes frisottées ne bouge. En revanche, loin d’être silencieuse, elle résonne sinistrement du cri strident des sophos, ces minuscules insectes sauteurs qui poussent des hurlements effrayants de bêtes enragées.
Il y a encore cent ans, personne n’avait jamais vu ou entendu un sophos au pays d’Olympis. Les campagnes étaient calmes, on prenait plaisir à s’y promener. Mais lors du conflit contre les Faunias, ces derniers se sont servis de ces insectes rugissants pour terroriser l’ennemi. À la fin des hostilités, ils sont repartis vivre en paix dans leurs montagnes, abandonnant aux gens d’Olympis ce bien encombrant présent. Depuis ce temps, les sophos sont légion dans les champs. Les paysans leur font une guerre acharnée pour ne pas les laisser entrer dans leurs villages. Toutefois, il n’est pas rare qu’un soupirant éconduit glisse l’un de ces insectes dans la maison de son rival, dans le seul but de se venger. »
- Une symbolique
- Ton inspiration
- Une musique qui t’a accompagnée dans l’écriture
Merci à Ena d’avoir bien voulu répondre à ma petite interview !
#Charlie
Voilà une nouvelle histoire ajoutée à ma très longue PAL😉
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